BAGNOLS-SUR-CEZE : Un grand boulodrome et un terrain multisport vont voir le jour très bientôt, chemin de Bourdilhan
Voilà une nouvelle qui ravit Éric Sabatier, le président de la Pétanque atomique bagnolaise : « nous avions fait la demande d’avoir plus d’espace, étendre le boulodrome, pour accueillir tous les jeux ainsi que les participants de nos concours, comme le Supranational qui se déroule les 7 et 8 octobre prochain ».
Près d’un hectare de terrain aménagé et terminé dans deux semaines
« Les travaux concernent au total 9 700m² de terrain longeant l’avenue de la Mayre. On souhaite transformer cet espace pour accueillir tout le monde récréatif et sportif », introduit le premier adjoint Maxime Couston. Juste à côté, des travaux sont aussi réalisés sur un grand terrain au revêtement stabilisé destiné à recevoir les habitants souhaitant jouer au football ou au basket par exemple.
Enfin, la Ville prévoit dans son budget 2024 l’aménagement de l’autre partie du terrain en contrebas du chemin de Bourdilhan. « Nous aménagerons un pump track, une piste constituée de bosses sur laquelle peuvent rouler des VTT ou skates. Autour seront installées des tables de pique-nique, des aires de jeux pour enfants et des arbres seront plantés », poursuit l’élu. Le coût total de ces investissement représente 550 000€.
Les travaux (décaissage, décapage, mise à niveau, revêtement) sont entrepris par l’entreprise Verfeuilloise ROBERT TP. Le chantier devrait être terminé dans deux semaines, parfaitement dans les temps pour accueillir la huitième édition du Supranational les 7 et 8 octobre prochain. Cette année encore, ce concours fortement attendu accueillera des pointures de la pétanque comme Cindy Peyrot, Michel Loy ou encore Tyson Molinas.
Notez que le nouveau boulodrome sera utilisé lors des éliminatoires du Supranational et que le concours se poursuivra au sein du boulodrome Jean Giono, situé Avenue de la Mayre. « Nous sommes très contents de ce nouveau boulodrome. Il nous permettra d’accueillir 160 jeux et recevoir 320 équipes », conclut Éric Sabatier.
