Territoire : deux conférences animées par le docteur Makosso à Bagnols-sur-Cèze et Pont-Saint-Esprit
Pour annoncer la conférence prochainement animée par le docteur Makosso et son équipe, quoi de mieux que le mois d’octobre ? Ce mois de l’année si riche en événements, prévention et sensibilisation. La ménopause sans tabou, sera le thème de cette conférence, proposée le 16 octobre à Bagnols-sur-Cèze et à Pont-Saint-Esprit le 5 novembre.
Un rendez-vous ouvert à tous, pour un sujet encore tabou mais important. « Il faut en parler, je reçois trop de femme à l’hôpital atteintes de cancers du col de l’utérus, de l’endomètre ou encore des ovaires. La ménopause, ce n’est pas un tabou, il faut en parler, informer et sensibiliser les gens. Expliquer aux femmes que leur bien être est pris en charge, après la ménopause, ce n’est pas terminé », rappelle le docteur Makosso, qui chapeaute le service gynécologie obstétrique de l’hôpital de Bagnols.
Ainsi, le docteur animera, accompagné d’une partie de son équipe, une conférence ouverte à tous et gratuite, ce mercredi 16 octobre à 17h dans la salle multiculturelle de Bagnols-sur-Cèze, mais aussi dans la salle des fêtes de Pont-Saint-Esprit, le 5 novembre prochain, à 17h également.
L’hôpital ouvre un créneau pour se faire dépister gratuitement pendant un mois
Du 17 octobre au 17 novembre prochain, du lundi au vendredi, le centre hospitalier de Bagnols ouvre son service de dépistage entre 12h30 et 14h30. Une ligne fixe a été créée spécifiquement, vous devez contactez le 04 66 79 10 13, annoncer à l’interlocuteur que vous souhaitez vous faire dépister et que vous venez entre 12h30 et 14h30. « A l’accueil de l’hôpital, il faudra prendre ses étiquettes, puis patienter 10 minutes. Le dépistage est très rapide, si tout va bien, vous repartez« , assure le docteur Makosso.
« A Bagnols, il y a des moyens médicaux et d’excellents protocoles. On est également en lien avec les professionnels de santé du territoire », reprend le docteur.
Quelques chiffres – Par an, on détecte 3 000 nouveaux cas de cancer du col de l’utérus, 8 000 cas de cancer de l’endomètre et plus de 5 000 personnes par an sont détectées d’un cancer de l’ovaire.