Rencontres avec les associations, nouveau collège, ouverture du centre de santé, les conseillers départementaux et régionaux au soutien de Claire Lapeyronie
En pleine campagne pour sa réélection, Claire Lapeyronie bénéficie du soutien du conseil départemental du Gard avec Nathalie Nury et Amal Couvreur, cette dernière représentant également la Région Occitanie. La récente visite de Vincent Bounes, Vice-Président à la Santé de la Région Occitanie, témoigne d’une mobilisation des proches de Carole Delga et Françoise-Laurent Perrigot afin de soutenir la conseillère régionale, candidate à sa réélection au poste de maire de Pont-Saint-Esprit.
Amal Couvreur et Nathalie Nury venues parler social, éducation et soutenir Claire Lapeyronie :
Le 5 avril dernier, les deux conseillères départementales sont venues en visite à Pont-Saint-Esprit. Tout d’abord, pour rencontrer des associations spiripontaines présentes au sein de l’Arche, un lieu créé au début de l’année 2023 dans le but d’être un lieu de rencontre.
Amal Couvreur a ensuite endossé son rôle de conseillère régionale en faisant un point d’étape avec les associations présentes sur le vote des subventions régionales pour leurs projets.
Les trois élues se sont ensuite rendues sur le terrain du futur collège, qui doit à terme remplacer l’actuel Collège Georges Ville, confronté à des problèmes de vétusté.
Implanté rue de Chance, le nouveau collège aura la capacité d’accueillir 700 élèves et comprendra également une halle des sports, destinée aux élèves et aux associations sportives locales.
Ce projet, d’un coût de 3,1 M€ (prix d’achat du terrain) et 35M€ investis par le département pour la construction du collège et de la halle des sports, est donc financé conjointement par la commune et le département. Le terrain acheté fait 31 104 m² de superficie.
Cette visite était l’occasion pour les deux élues de réaffirmer leur soutien à Claire Lapeyronie dans cette bataille des municipales.
Ce mercredi 10 avril, Claire Lapeyronie, maire sortante de Pont-Saint-Esprit, recevait Vincent Bounes, Vice-Président à la Santé de la Région Occitanie, pour faire le point sur les actions qui permettent aujourd’hui de quantifier les efforts réalisés par la région pour apporter des solutions concrètes sur la santé et les déserts médicaux sur le territoire de Pont-Saint-Esprit. Un sujet qui marque profondément la campagne des élections des dimanches 28 avril et 5 mai prochains. D’entrée, Vincent Bounes expliquait la mise en place du GIP (Groupement d’Intérêt Public) ou ‘’Ma santé, Ma Région’’, une structure partenariale créée en 2020 associant la Région Occitanie aux collectivités volontaires, aux collectivités locales, aux universités, académies et associations d’internes de médecine de Toulouse et Montpellier, ce qui est le cas de Pont-Saint-Esprit. Depuis deux ans, la machine est en route et dans le Gard, ce sont déjà trois implantations – Saint-Hilaire de Brethmas, Saint Gilles et Lussan – des centres qui fonctionnent bien. ‘’Une réunion à l’Hôpital Local de la ville nous a permis d’avancer sur les dossiers et nous envisageons un médecin généraliste – dit de premier secours – rapidement avant la fin de l’année. Nous sommes bien partis mais naturellement, de nombreux écueils ralentissent la marche. Cependant, nous sommes optimistes pour des solutions rapides’’, confie Vincent Bounes.
Claire Lapeyronie et Vincent Bounes, vice-président à la santé, élu de la Région Occitanie, ont rencontré ce matin du 10 avril l’équipe de la direction du centre hospitalier de PSE. Des locaux seront disponibles rapidement, des médecins seront prêts à s’engager, la Région et la Ville prendront en charge leurs salaires, leur secrétariat et leur installation.
‘’Beaucoup de choses ont été faites comme l’accompagnement de PSE Santé, mais ce n’est pas tout. L’Hôpital Local mettra fin 2025/début 2026 cinq espaces de consultation avec des médecins salariés par la Région’’, poursuit Claire Lapeyronie. ‘’C’est une angoisse terrible pour celles et ceux qui sont en attente et nous faisons tout ce qui est possible pour avancer le plus vite possible. Nous allons créer une maison des internes, ce sont déjà deux femmes que l’Hôpital va accueillir prochainement et nous allons créer toutes les conditions pour aménager des espaces de vie pour que ces professionnelles puissent résider dans la ville avec tout le confort nécessaire’’.