Roquemaure porte fièrement ses couleurs grâce à une casquette signée Makai
Depuis Pont-Saint-Esprit jusqu’aux rues de Roquemaure, le style de Jérémy Grimaud, fondateur de Makai Design, habille désormais les têtes… et les esprits. Ce créateur de casquettes personnalisées, dont les modèles ornent déjà celles de nombreuses stars et sportifs, a mis tout son savoir-faire au service de sa région en signant une pièce unique : la casquette Roquemaure.
Un hommage textile à l’identité locale
Fruit d’un partenariat entre la municipalité et le designer, cette casquette n’est pas un simple accessoire. Sur sa visière, on retrouve les symboles emblématiques de la ville : la vigne, le premier tonneau de côte du Rhône, la Tour carrée, les halles de la Poustelle, la Lône, et même les cœurs rappelant la Saint-Valentin, fête des amoureux chère à Roquemaure. Un condensé d’identité locale qui, pour la maire Nathalie Nury, « contribue à mettre en valeur notre village ».
Un projet inscrit dans une dynamique de renouveau
Depuis 2020, la municipalité œuvre à transformer l’image de Roquemaure à travers des travaux urbains d’envergure, l’obtention de labels, et l’ouverture récente du restaurant Tribu place de la Mairie. La casquette s’inscrit dans cette dynamique de valorisation et de rayonnement du territoire. « Nous avons souhaité marquer notre attachement à la commune par un objet fort, original et porteur de sens », souligne Nathalie Nury.
Ambassadeurs de Roquemaure, à vos casquettes !
La municipalité offre les premières casquettes aux agents municipaux, premiers ambassadeurs de la commune. Pour les habitants désireux d’arborer cette casquette unique, elle est mise en vente au prix coûtant de 20 € à l’accueil de la mairie. De plus, Makai propose une réduction de 10 % via le code « #Roquemaure » sur son site internet, pour étendre l’initiative au-delà des frontières communales.
Un modèle d’identité locale à suivre ?
Avec cette création, Makai et la Ville de Roquemaure démontrent comment le textile peut devenir vecteur de fierté locale. D’autres communes, associations ou entreprises seront-elles séduites par le concept ? C’est en tout cas le souhait de Jérémy Grimaud, qui espère voir d’autres projets naître autour du lien entre patrimoine et création.
