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Douceur Divine : une nouvelle pâtisserie gourmande rue de la République à Bagnols-sur-Cèze

Depuis le 16 août, une nouvelle adresse sucrée a ouvert ses portes au cœur de Bagnols-sur-Cèze, rue de la République. Douceur Divine, c’est le projet de Celya Bertelle, une jeune pâtissière ardéchoise de 20 ans, passionnée et déjà prometteuse, qui a choisi de s’installer ici presque par hasard… mais avec conviction.

« Je ne connaissais pas Bagnols. En cherchant un local, j’ai découvert la ville et j’ai eu envie de m’y installer. En plus, cela me rapproche de mon conjoint qui travaille à Laudun », raconte la jeune cheffe.

Un parcours déjà solide

Celya s’est lancée dans la pâtisserie il y a quatre ans. Après un CAP de deux ans obtenu en 2021, elle a poursuivi par une mention complémentaire. Une formation qui l’a menée jusqu’au titre de deuxième meilleure apprentie régionale, une distinction qui témoigne de son sérieux et de son talent.

Une carte variée et raffinée

Dans sa boutique, elle propose une large gamme de pâtisseries individuelles et à partager, mais aussi des grands gâteaux sur commande pour les anniversaires, mariages et autres événements. Les mini ardoises salées viennent compléter l’offre, pour les gourmands qui aiment varier les plaisirs.

Douceur Divine ne se limite pas aux douceurs sucrées : on peut également y prendre un thé, un café ou un bubble tea, pour un moment convivial et rafraîchissant.

Toujours à l’écoute des tendances et des attentes de sa clientèle, Celya réfléchit déjà à de nouvelles créations : une spécialité autour de la châtaigne, clin d’œil à ses origines ardéchoises, ainsi que des recettes sans gluten.

Les horaires

La boutique est ouverte du mardi au samedi.

Jusqu’au 15 septembre, elle accueille uniquement l’après-midi.

À partir du 16 septembre, les horaires évoluent : 9h-13h et 14h30-19h.

Rémi Fagnon

A tout juste 22 ans, le benjamin de l'équipe Rémi a fait du journalisme son terrain de jeu favori ! Vêtu de son costard cravate, ses lunettes teintées, un carnet, un stylo et dégainant son appareil photo à la moindre occasion, Rémi mène l’enquête, avec une ténacité légendaire. C’est aussi un féru de journalisme sportif, pour qui le Tour de France, les matchs de foot et le sport automobile n’ont aucun secret. Son talent caché : lors d’une interview téléphonique, à peine a-t-il raccroché, que son article est déjà prêt.

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